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Depuis sa création en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), l’organisme des Nations Unies chargé d’évaluer les travaux scientifiques consacrés aux changements climatiques, fournit des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies pour faire face.

La conclusion du sixième cycle d’évaluation du climat a été faite avec le sixième Rapport publié l’année dernière et qui insistait sur le fait que le réchauffement climatique causé par l’activité humaine se produit plus vite et plus fort que prévu.

A Istanbul en Turquie du 16 au 19 janvier 2024, le GIEC qui compte 195 Etats membres, va entamer les travaux de son septième cycle d’évaluation, discuter des enseignements tirés de son sixième cycle d’évaluation et des options pour le programme de travail. Ce cycle devrait se terminer vers 2030, date à laquelle les actions prises au niveau mondial devront permettre de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C.

A travers l’ANACIM, le Sénégal participe à la rencontre, avec Dr Ousmane Ndiaye, Directeur de l’Exploitation météorologique, point focal GIEC au Sénégal et Dr Aïda Diongue Niang, conseillère à la direction de l’exploitation météorologique et vice-présidente du Groupe de Travail 1 du GIEC. En effet, les Rapports du GIEC sont publiés par trois Groupes de Travail. Le Groupe 1 travaille sur les fondements physiques du changement climatique, le Groupe 2 sur l’impact du changement climatique sur l’humanité, les vulnérabilités et l’adaptation de cette dernière aux changements climatiques et le Groupe 3 sur l’atténuation du changement climatique.

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