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C’était la conclusion faite par Dr Ousmane Ndiaye lors du panel organisé par l’Agence météorologique du Ghana (GMet). Le Directeur de l’exploitation météorologique à l’ANACIM était à côté d’imminents panélistes comme la Directrice du Bureau régional de l’OMM pour l’Afrique, Dr Agnes Kijazi, Eric Asuman, Directeur général de l’Agence météorologique du Ghana, Nana Ama Browne Klutse, Vice-président, Groupe de travail I du GIEC entre autres.

Le Ghana avait invité dans son pavillon à la COP28 des experts pour débattre sur l’initiative de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) dite « Alertes précoces pour tous » qui vise à garantir que chacun sur Terre soit protégé des phénomènes météorologiques, hydrologiques ou climatiques dangereux grâce à des systèmes d’alertes précoces.

A la COP27 à Charm el-Cheikh en Égypte, l’OMM avait lancé un Plan d’action qui prévoit 3,1 milliards de dollars sur cinq ans pour renforcer les savoirs et la gestion des risques de catastrophes, l’observation et la prévision, la diffusion et la communication des alertes, ainsi que les capacités de préparation et de réaction.

La conviction de Dr Ousmane Ndiaye est qu’il faut mettre plus de moyens dans les alertes précoces pour amoindrir les impacts des évènements météorologiques qui vont devenir de plus en plus extrêmes à cause du changement climatique. Ce qui par ailleurs évitera de dépenser plus en termes de réparation et de prise en charge.

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